Si tu parles de liberté et de libre arbitre, c’est la même chose. Liberté et libre arbitre sont une base, un fondement, et ensuite, il faut des applications.
Alors, tu édifies des lois pour conforter ce principe, pour le rendre vivant, pour le rendre utile, pour le rendre bon.

Si tu parles de l’amour, c’est un principe, et ensuite, il faut des lois pour établir que celui qui est dans l’amour l’est réellement.
Il faut faire des lois pour faire la différence et la distinction entre, par exemple, l’amour et la haine.
Si tu parles de la vie, c’est un principe, et ensuite, il faut des lois pour la diriger, pour la mettre en place.
Si tu parles de moralité, la moralité est une loi.
Si tu parles de respect, le respect est une loi.
Si tu parles d’amour, c’est un principe.
Si tu parles de bonté, c’est un principe, et ensuite, tu dois définir, pour la bonté, ce qui va placer les qualités dans le sens des lois.

Un principe découle obligatoirement d’une base et d’un concept, auxquels il faut ensuite ajouter des lois.

La première base de la révélation d’une existence unique dans l’Univers, c’est l’amour.
La seconde base de la révélation multiple pour pouvoir créer, c’est la mathématique.

Je fais une distinction entre la base et le fondement qui est la suivante : la base est un élément qui donne la constitution de toutes les choses qui sont en dehors de la matière, qui sont avant la création de la matière.
Le fondement est tout ce qui prend appui dans la création, donc après la création de la matière.
Par exemple, le fondement de la vie prend appui sur les électrons.
Les électrons sont des fondements de la vie qui, suite à son éclosion, selon son éclosion, devient un principe.

Si nous pouvions arriver à édifier des lois se basant sur toutes les qualités de l’Univers, ce serait fabuleux.