
C’est une loi qui a pris naissance au fur et à mesure de l’intoxication de l’être humain qui a évolué dans la nature humaine terrestre. C’est donc une loi obligatoire, nécessaire, utile et souverain de définir une épuration consommable. La loi de l’épuration est une loi humaine ET universelle, car les évolutions ont laissé la place à ce qui était envisagé de pire et de plus difficile, cela dès la mise en place de la nature, du minéral, et du végétal. La mort est la définition de cette loi qui sous-entend sous toutes ses formes de possibilités, c’est-à-dire, mort de la nourriture ingérée car transformée en une autre espèce, ou molécule ou cellule.
Cette loi prend naissance à partir du règne végétal, devient obligation au règne animal et nécessité au règne humain.
L’obligation donnait lieu à la vie elle-même en activité et la nécessité est l’action de l’être vivant. L’obligation à la cause animale car ce dernier a dû manger ce qui à sa portée, lui donne le moyen de grandir, de grossir, de devenir fort. C’est la base de cette loi.
La nécessité est une cause humaine, qui prend à sa cause l’animal, le végétal et le minéral, pour devenir un être humain induit de la nature de cette planète. C’est le concept de cette loi. Obligation ET nécessité d’avancer ou de se détruire.
Q. Alors cette loi dont la définition serait la mort, a été nécessaire pour corriger une programmation négative par l’esprit dans le corps ?
R. Oui. L’esprit a permis par la nécessité de programmer, déprogrammer, reprogrammer et d’épurer pour transformer avec cette loi. La matière est obligée d’épurer et de parvenir à dégager la nature et l’esprit sis en elle, de toutes ses formes d’erreurs et de méconnaissances. La vérité étant cependant dans tout acte, tout concept, toute tendance, l’être humain, l’homme, la femme, définit l’élimination des éléments désorganisés, les déchets de l’organisme. A partir du moment où il y a nourriture, qu’elle soit matérielle ou spirituelle, il y a obligation de tri et d’épuration, pour entrer dans le sens fondamental et futur.
Le premier état de cette loi est le choix. Utiliser ce qui était à disposition dans le minéral, dans le végétal, bien sûr, mais utiliser le végétal était source facile et aisée, le plus dur était de se servir du minéral. Au niveau du règne minéral, pas besoin d’épuration, mais besoin de structuration par décomposition et recomposition. Si l’homme n’avait pas changé sa nourriture et était resté à la cause animale, il n’aurait pu devenir humain. C’est ainsi que la loi de l’épuration entre dans le choix de continuer à manger, ce qui lui a donné la possibilité de devenir ce qu’il est, et de parvenir à cet état actuel de choix de l’épuration par sélection chimique et naturelle. Les autres systèmes n’ont pas atteint le sens de la nourriture et de l’épuration, ils avançaient sans déchets, et se sont détruits en une seule fois. Notre création a décidé le temps et la mort pour évoluer plus sûrement. L’ère du verseau qui va durer environ 2OOO ans, n’apportera pas encore la notion d’évolution dans les corps humains. L’animal gère la mort comme une joie immense, alors que l’homme à cause de la nécessité gère cette notion avec une peur immense. Plus il avance dans le temps, plus il a peur, plus la violence s’exerce et plus les tueries deviennent nécessaires. L’épuration découle des uns et des autres et n’est pas un choix. Le choix a été la mort, qui est aussi un moyen et non une cause. Le choix, c’est là que tout est envisageable et possible. Si l’homme avait su, avant de se servir de la chimie, ce qu’il devait faire des déchets non insérables, il n’y aurait pas ce problème actuel sur la planète. Cette loi entre dans le choix pour l’être humain, de continuer à manger ce qui lui a donné la possibilité de devenir ce qu’il est et, de parvenir à cet état actuel de choix de l’épuration par la sélection chimique et naturelle.
Q. Pourquoi avons-nous un tel dérèglement au niveau de la nature ?
R. L’Homme n’a fait que salir la planète de ses œuvres, et pour que l’être humain puisse comprendre ses fautes, ses manques, ses faiblesses, la nature montre le pire. Cette loi conditionne le sens de l’utilité à savoir qu’il y a cause et effet, et effet et cause ; l’amour est une cause et donne l’effet. L’effet donne bien souvent haine et rejoint la cause. Au milieu de cela, il faut épurer et comprendre le besoin de cette nécessité et savoir que la planète est en pleine désagrégation car plus de mauvais sens à épurer que de notions de bien acquises. La terre partout se rebelle et lance ses négations par l’esprit, la nature, par ses sens exacerbés, l’énergie explose, la haine éclate, la violence estourbit chacun de nous, et l’amour ne parvient pas à endiguer ces flots. Il faut épurer, il faut faire mourir, il faut laisser souffrir. Cela va-t-il donc enfin prendre fin dans nos esprits, dans les natures, dans les corps et dans les conceptions ? Changeons cela avec notre action, notre pensée. L’épuration est une connaissance de l’élément à transformer. La terre arrive à une apogée de violence, l’homme doit entrer dans son esprit, le sens de sa présence sur terre et le pourquoi de ses interdits, de ses pouvoirs, de ses erreurs.
Le choix ? Que faire de cette nature, un vaste champ infesté et néfaste ou un lieu de délices et de bonheur ?
Le deuxième état est la souffrance. L’animal ne souffre pas quand il est malade physiologiquement, il souffre quand il est blessé par l’homme, frappé ou maltraité. L’animal dans sa conception, s’il arrive à une maladie, la connaît, il vit avec, l’identifie et évolue sans souffrance raisonnée. La souffrance physiologique de l’animal n’est pas une émotion, elle est une conséquence et une acceptation de sa conscience animale. Dans le cas de l’homme on peut associer souffrance et douleur, pas dans le cas de l’animal. S’il ressent une petite douleur quand il est malade, il se plaint rarement. L’homme lui, quand il a une souffrance, il la jette au monde entier, dans le feu des passions qui apportent la peine, les larmes partout. Si l’homme savait épurer ainsi que l’animal, il ne donnerait pas au monde l’exemple de l’horreur du mal dans toute sa souffrance. La non-compréhension conduit l’homme à détester l’autre.
Q. Mais à quoi sert la souffrance ?
R. Il faut comprendre que la souffrance que nous dégageons, que nous éprouvons et que nous étalons est tout simplement un sens d’épuration et qu’elle est nécessaire à comprendre pour permettre sa disparition, à maitriser pour autoriser son annihilation et à dépasser pour laisser la place à la loi suivante, celle du bien-être et des sensations heureuses que l’être humain se doit d’aborder. Nous sommes actuellement aux extrêmes du matérialisme, de la violence et de la pollution. Il faut comprendre cette loi qui est très difficile à mettre en place et jusqu’à présent seule la mort a permis le renouveau de l’esprit, seule la disparition de certains éléments ont permis à cette nature de ne pas se détruire par la matière dont elle est faite.
Q. Pour que la souffrance physique, psychique ou morale permette d’épurer faut-il une cohésion entre ces souffrances liées au corps, au cœur et à l’esprit ?
R. Pour définir le sens de ces trois sièges de souffrance, le physique, c’est la douleur, le psychique c’est le mal de vivre, et la souffrance morale ce sont les peines et les difficultés de compréhension, de réflexion face à une situation. Ces trois sont liées et entrainent les actions les unes aux autres ; par la douleur physique le moral baisse, le psychisme perd son énergie. Par le mal psychique, le corps perd de son entrain, de sa vitalité et, par la souffrance morale, le corps et le cœur pleurent de toute part et perdent leurs forces.
Q. Dans le premier et deuxième état, on parle de régir, ce qui implique forcément des lois ou des règles pour cela, alors quelles sont ces règles ?
R. L’utilisation ! Le moment de régénérescence totale est dans l’utilisation de tous les excréments, gaz et mauvaises pensées, c’est à dire de la prise de conscience réelle et profonde dans la pensée même et l’utilisation des excréments comme énergie nouvelle, crée une autre énergie, c’est ce que nous devons parvenir à faire et non se servir des énergies naturelles comme ingrédients. L’homme va comprendre qu’il doit se servir de tous les gaz nocifs et, s’il a compris, l’effet de serre autour de la terre sera utilisé et permettra à la nature de se développer à nouveau sainement. Les impuretés issues de la chimie industrielle sont en attente d’être transformées et très dangereuses. Même dans la brûlure de l’excrément, l’atmosphère se charge encore de particules négatives et l’effet de serre autour de la terre vient de tout ce qui est utilisé, brûlé, mal recyclé, tout est mal recyclé ! L’utilisation de la chimie est négative partout. Notre siècle est celui de la chimie et de sa connaissance, l’homme ne doit pas chercher sa propre sûreté dans l’emploi de cette force, n’importe comment, c’est ce qu’il fait. La respiration devient très difficile pour beaucoup d’entre nous et cela donne la plupart des maladies qui conditionnent des problèmes circulatoires importants et surtout d’allergies. Notre environnement est étouffant, nos mutations d’énergies sont dangereuses. La peau commence à donner des signes de destruction très graves. C’est un principe vital de retraitement de tout déchet et, c’est la cause humaine.
Le troisième état est l’étalement. C’est la programmation ; la possibilité du corps de tenir compte des conditions de l’environnement. C’est une éducation obligatoire.
Q. Je me demande pourquoi l’éducation et non le choix de pouvoir intervenir ?
R. L’éducation est une règle physique et, quand elle nous est donnée, il est très difficile de la transgresser. Ceux qui en font fi tombent dans la saleté le plus souvent, dans des excès négatifs. L’éducation, ce mot est pris dans un sens positif. D’ailleurs on ne peut dire éducation pour un être mal éduqué, voleur, menteur… d’où cette nécessité d’une éducation obligatoire !
Q. Avec l’étalement, quels sont les axes principaux sur lesquels on peut agir immédiatement et qui amèneront une modification des autres éléments ?
R. Oui en premier lieu par une prise de conscience personnelle, pour chacun d’entre nous et pour que cela arrive à nos dirigeants qui attendent trop souvent le dernier moment pour mettre en place tout ce qu’ils savent et peuvent déjà faire ; ce n’est que lorsque cela rapporte qu’ils le font ! La programmation va dépendre de l’évolution, donc la loi précédente, et l’étalement dans cette loi dépend des possibilités de chacun.
Le but de cette création, de ce passage sur terre, de nos vies, de notre esprit, de notre compréhension, n’est pas d’aller développer, le mal et la souffrance partout, mais bien de parvenir à comprendre et connaître le sens de ce qui rend heureux. Le but de cette création est d’amener la passion et le désir d’amour à une apogée de subtilité passionnée et éternelle. C’est en cela que la loi de l’épuration est nécessaire, car l’épuration apporte le sens de la bonne essence humaine. Par l’épuration de la nourriture entre la condition de la connaissance, et du progrès. Pourquoi faut-il mort et épuration ? C’est à cause de cela. L’épuration par le système naturel est obligatoire, la création matérielle est seule capable d’épurer. Pour parvenir à la loi suivante, il faut que l’être humain comprenne et assure sa continuité par la nécessité de ses actions et par le sens de ses capacités.
L’homme est responsable, l’homme décide ; la terre sera belle ou innommable !